Son histoire
Artiste polyvalente, Justine Guerville aime captiver son imagination et créer dès son plus âge. De nature contemplative c’est via le corps et le mouvement qu’elle trouve son mode d’expression vers le monde extérieur. Très vite, elle y ajoute technique et discipline à travers la danse contemporaine ou modern Jazz.
Chorégraphe amateur, elle décide de passer une option ponctuelle en danse - lors de son bac scientifique - et de traiter le thème aussi tragique qu’émouvant des femmes battues, s’inspirant ainsi de la gestuelle de la chorégraphe Blanca Li ou des mouvements dansants de Pina Baush, un tournant professionnel.
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À son entrée en Arts du spectacle à l’Université d’Artois, elle prend de la hauteur en acquérant des compétences en scénographie, dramaturgie, écriture et tout ce qui gravite autour de la création du spectacle tout en veillant à se confronter à différents publics lors de festivals universitaires. Avant d’être diplômée, Justine met en scène un spectacle contemporain sur les différentes formes de violence qui mélange théâtre danse et musique, appelé «OBFOR».
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Elle participera à différents projets de théâtre, dont «Le Dindon» mis en scène par Thomas Durisotti ou «les choses qu’on aime» mis en scène par Maxime Peloso.
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Toutefois c’est en jouant dans «Les petites Meurtres d’Agatha Christie», ou encore dans «Le mari de mon mari» qu’elle découvre le monde du 7e Art et décide de s’y développer.
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Lorsqu’elle déménage à New york puis San Francisco son regard sur sa discipline et sur ses propres attentes trouve un ton plus juste et audacieux. Ainsi, elle pousse plus loin sa curiosité avec des stages de jeu d’acteur avec Mark Stolzenberg et Perry Bamber, des tournages «Movie making in One day» et se lancent - littéralement - dans la danse voltige avec The Bandaloop Compagnie.
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De retour à Paris, elle aime l’idée de continuer d’apprendre et suit une formation d’acteur de la célèbre méthode Meissner - en Anglais - et vit de son art sur scène ou devant la caméra.
Justine voit la vie comme une évolution constante de l’âme, de l’esprit et du corps. Ainsi elle grandit en même temps que sa pratique artistique toujours dans le respect de son corps et dans un cadre sérieux.